Centre National de Recherche Agronomique de Côte d'Ivoire

Adiopodoumé, Km 17, Route de Dabou 01
BP 1740 Abidjan 01
Thématique d'intervention principale
Thématique d'intervention secondaire
Pays d'intervention
Mots clés
  • Le CNRA , Centre National de Recherche Agronomique de Côte d’Ivoire a été crée en 1998 suite à la dissolution de plusieurs structures de recherche (IDEFOR, IDESSA, CIRT) dans le but de mieux coordonner la recherche agronomique afin d’obtenir de meileurs résultats. Le CNRA regroupe ainsi plusieurs sites répartis sur l’ensemble du territoire ivoirien. Chaque site se compose d’un ensemble de Stations de Recherche rattachées administrativement à une Direction Régionale (Dreg).

    Le Centre National de Recherche Agronomique a principalement pour objet :

    • L’accroissement durable de la production et de la productivité dans les domaines agricoles et agro-industriels par:
      • des recherches sur les productions végétales, animales, forestières, les systèmes de productions, les méthodes de conservation et de transformation, ainsi que par l’adaptation des innovations technologiques en milieu rural
      • le transfert des acquis scientifiques et techniques auprès des opérateurs publics ou/et privés, locaux ou/et extérieurs
    • La conservation et la valorisation du patrimoine scientifique et technique, des droits incorporels et des biens mobiliers et immobiliers qui auront été mis à sa disposition par l’Etat ou acquis par la société dans le cadre de son objet
    • Et, plus généralement, toutes activités de recherches agronomiques et technologiques et toutes opérations agricoles, industrielles ou commerciales, immobilières ou financières, y compris toutes prises de participation dans d’autres sociétés ayant leur siège en Côte d’Ivoire ou dans d’autres pays, pouvant se rattacher directement ou indirectement à l’objet social ou susceptibles d’en faciliter la réalisation ou le développement.

    Le CNRA a pour missions de :

    • Initier et exécuter des recherches en vue d’assurer :
      • l’amélioration des cultures destinées à l’exportation, l’amélioration de la productivité des cultures vivrières indispensables à la sécurité alimentaire et susceptibles, à terme, de faire reculer la pauvreté de facon significative,
      • la promotion et le développement de nouveaux produits exportables,
      • l’intensification et la stabilisation des systèmes d’élevage et de systèmes régionaux à base de vivriers, en intégrant l’élevage et l’introduction des différents arbres utilitaires, Ã travers une modernisation de l’exploitation, par la gestion durable des sols, la gestion intégrale des déprédateurs, la gestion des eaux, etc., la mise au point de techniques respectant l’environnement et adaptées aux besoins des producteurs et des productrices à faibles revenus,
      • l’amélioration et la diversification des produits d’origine animale,
      • la dynamisation de la recherche technologique, notamment la conservation, la transformation des produits agricoles et l’adaptation de la petite technologie en milieu rural,
    • Mobiliser autour de la recherche agronomique nationale, au plan financier comme au plan technique, les partenaires privés incluant les OPA et l’Etat, afin de garantir et pérenniser ses ressources financières et les compétences pour l’exécution des activités ;
    • Doter les services de la recherche agronomique d’une capacité de propositions, de moyens humains, matériels et financiers en rapport avec la demande ;
    • Apporter un appui aux groupes sociaux les plus vulnérables (femmes, petits exploitants, jeunes déscolarisés, etc.) par la formation technique et professionnelle aux métiers de la terre dans les centres de recherche et de production spécialisés.
     

  • Ce champ est vide pour l'instant
  • Ce champ est vide pour l'instant
En haut